Partager
cet article
Accueil > Rupture conventionnelle > Comment rédiger votre lettre de refus de rupture conventionnelle ?
Vous n’êtes pas prêt à donner une suite favorable à la demande de votre salarié : celle de rompre bilatéralement le contrat de travail qui vous lie ? Il est alors de votre responsabilité de lui adresser une lettre de refus de rupture conventionnelle. Comment rédiger cette lettre ? Découvrez la réponse.
Le droit à la rupture conventionnelle a ses limites. Autrement dit, en tant qu’employeur, vous avez le droit de refuser une rupture conventionnelle initiée par un salarié en CDI (contrat à durée indéterminée). Toutefois, cette décision peut avoir certaines conséquences pour vous :
Vous êtes conscient de ces conséquences ? Mais, pour une raison ou pour une autre, vous désirez quand même rejeter la demande de rupture conventionnelle du contrat faite par votre employé ? Voici comment le notifier par écrit.
Il faut considérer la rédaction de votre refus sous deux angles : le fond et la forme.
La forme d’une lettre de rejet de licenciement à l’amiable (rupture conventionnelle), n’est pas différente des autres lettres administratives que vous avez l’habitude de rédiger. Elle doit être structurée de la manière suivante :
Les demandes de rupture conventionnelle chez les salariés en CDI sont de plus en plus fréquentes. Si l’employeur n’est pas en mesure d’y répondre défavorablement, il lui est recommandé, à la suite de sa lettre de refus de rupture conventionnelle, de proposer l’alternative du reclassement à son salarié, par exemple.
Vous n’êtes pas prêt à donner une suite favorable à la demande de votre salarié : celle de rompre bilatéralement le contrat de travail qui vous lie ? Il est alors de votre responsabilité de lui adresser une lettre de refus de rupture conventionnelle. Comment rédiger cette lettre ? Découvrez la réponse.
L’outplacement a fait ses preuves dans l’accompagnement des salariés à la transition professionnelle.
Mesuré selon le contexte de l’entreprise (PSE, licenciement économique individuel ou collectif), il s’inscrit dans une logique « gagnant-gagnant » :
Partager
cet article